Bleach, Bleach, Bleach.
Alors voilà il est tôt le matin et j'ai rendez-vous chez le coiffeur qu'à 13 heures. Malheur comment tuer le temps. Bon allé de dépit, l'âne regarde les animés avec l'entrain d'un cheval franchissant la porte de l'abattoir. Et là? Agréable surprise, cet épisode est vraiment pas si naze. Enfin cela dit comme j'en ai raté 4 ou 5, j'ai pas tout franchement saisis mais bon, c'est d'autant mieux, ça rend la chose assez nébuleuse machin toussa.
Donc le voila le grand, le beau, le magnifique, Episode 345
Bon épisode!!!!
Donc pour les moins aventureux qui n'auraient pas (encore) regardé ledit épisode, je trace ce joli traits de mon aérien sabot.
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Pourquoi donc ai-je trouvé cet épisode intéressant? Ben en un mot comme en cent, ça change un peu du combat un contre un, bon versus méchant, on alterne chaque super nouvelle attaque, après une diatribe qui, comme dirait "La fouine", enfin non, on ne peut pas citer ce pauvre garçon sur un forum hanté par les Québécoises de 12 ans.
Bon certes il est vrai que j'ai peut-être été un peu influencé par Soi Fon, sorry, shame on me (Aakon, dans son célébrissime hit planétaire Sorry, Blame it on me ). Donc disais-je après la grande déception de son bankai digne de Stargate SG-1, son combat au sabre est beaucoup plus que simplement élégant. C'est-à-dire que son shikai, qui greffe à sa main une sorte d'épine géante, évoque plus un vieux fantasme qu'une arme létalissime (ça fait deux superlatifs en un seul paragraphe o_O ). Cela dit, il faut bien dire qu'il n'est pas aussi bien chorégraphié que le SF/Y de l'arc séreitei, les auteurs de HS ont tendance à abuser de la facilité shunpo-ça-trop-vite-on-voit-rien. Par contre, la fin avec l'arrivée à peine pressentie de Yoruichi, c'est du déjà vu à mon avis, dans le 58 c'est kitch mais attendrissant, là c'est... moins bien. Il ne faut pas abuser des bonnes choses.
j'ai aussi particulièrement aimé le Byakuya/Zaraki, sauf au moment ou l'on comprend que Z a l'instinct et que B cache qqch. Ça aurait été plus marrant que Zaraki se mette à affronter n'importe qui juste parce que la situation est déplaisante, pour décharger son énergie négative. Un petit côté absurde quoi (comme toute la conduite d'Aizen en somme, hum hum j'ai rien écris Nos).
Puis l'intervention de Mayuri est plutôt bien orchestrée également, là il n'y a pas de combat ça change, il nous sort sa petite réplique cynique, lui, il a un vrai sens de l'humour. Un peu comme Yachiru, qui déchire de son air rigolard les ailes d'un pauvre papillon toxique qui ma foi ne l'avait pas mérité.
Grosso modo c'était pas si mal. :joker:
